“Domaine Prieure La Chaume

Ce domaine est référencé depuis 2006 au Gavrinis.
Séduit par les cuvées Prima Donna et Orfeo, les vins ont été rapidement appréciés des clients.
Région de production de vin très peu connue, très belle qualité des cuvées, association avec notre cuisine simple mais raffinée de l’époque. Chaque année, les visites de salons professionnels permettent de connaître les saveurs des nouveaux millésimes, avec parfois de belles découvertes de nouveautés !
Concentrons-nous sur une des plus anciennes bouteilles de ce domaine avec un Orfeo 2006.
Beaucoup d’appréhension à l’ouverture !
Et puis waouh !!!
Un bouchon nickel ! Les premières coulées dans la carafe font apparaître un nectar tuilé à souhait, avec une belle brillance. Nez sans défaut ! Au contraire, de superbes arômes de beau tabac fin à cigare frais. La bouche superbe avec un attaque fraîche, des tanins bien fondus, une fin sur les fruits rouges et noirs. La vigueur est bienvenue malgré la souplesse d’un vin âgé.
Dégustons avec respect. Une pensée pour le travail accompli en 2006 qui a résisté au temps, et pour le plus grand plaisir des gastronomes.
Passons à l’avis des clients ce midi. Actuellement table 1 depuis 3 ans.
1er : sur un homard, et oui, servi avec lentilles vertes fermières du Morbihan, sabayon de homard et jus réduit de poisson au vin rouge, bisque de crustacés et raviole de homard.
2e : un ris de veau, purée d’oignons doux de Roscoff, feuilles de carmine, accompagné de rognons de veau déglacés au cognac, mousseline de pommes de terre, langue de veau confite.
Verdict : un régal, un grand moment de gastronomie, et surtout une belle découverte de ce terroir. Enfin surprise de l’assemblage des cépages et du millésime ! Association remarquable et inconnue !

Conseil d’association | La CHAUME Orfeo 2006 & Pigeon rôti sur coffre
Pigeon rôti sur coffre, mousseline d‘oignons doux de Roscoff, feuilles de carmine, jus réduit aux graines de moutarde, cuisses confites. Association sur le filet servi rosé, acidité de l’oignon, saveur des cuisses confites.”